Je suis née dans une famille catholique de 8 enfants. Je suis le dernier enfant et le seul de la famille à avoir la possibilité d'étudier. Lorsque j'avais dix ans, ma mère me racontait sa vie. Elle voulait être religieuse, mais la culture ne le permettait pas. Son histoire m'a inspiré et encouragé la vocation que j'avais avant de devenir prêtre.
Lorsque j'ai eu treize ans, je suis entré au petit séminaire mais avant de terminer ma formation, ma mère est décédée. Je pensais que ma vocation ne se réaliserait pas car je n'avais personne pour me soutenir financièrement. Mais j'ai parlé de la situation au recteur et lorsque mon rapport est parvenu à l'évêque, il a choisi de me soutenir. Ainsi, il m'aide à poursuivre la vocation par différents moyens comme la demande de votre soutien.
Cependant, je ne peux pas oublier l'aide que je reçois de la Fondation CARF. Il est vraiment remarquable que les membres de la Fondation s'offrent pour nous aider sans rien attendre en retour. Vu l'ampleur du travail qu'ils accomplissent, il vaut la peine de les remercier et de prier pour eux. Cela a également renforcé mon sentiment d'appel lorsque je réfléchis à la façon dont d'autres personnes essaient de m'accompagner de différentes manières avec l'intention que je ne manque pas de quelque chose qui pourrait me faire quitter l'appel que je ressens en tant que prêtre.
Enfin, l'atmosphère du Séminaire international de la Bidassoa où je vis, tous les formateurs et les autres séminaristes, est également très importante pour moi. Le fait de vivre dans un environnement international avec un mode de vie pour tous me fait également ressentir l'universalité de l'Église, à savoir que nous sommes tous un dans le Christ.
Que Dieu vous bénisse toujours dans votre travail et les œuvres que vous faites pour aider les vocations sacerdotales".
